| Sujet: {M/LIBRE} T'ignores le vide devant toi, les vertige et la peur, tu connais pas. Lun 14 Mai - 7:23 | |
| NOM. RAPHAEL PRENOM² CREDITS.(credits)« Dans les villes, dans les campagnes, moi je vais comme un assassin en campagne. » nom → Au choix ; prénom(s)→ Raphael, au choix ; âge → vingt trois ans ; traits de caractère → sauvage, impulsif, hors la loi, solitaire, protecteur, séducteur, maladroit dans ses sentiments, réservés, intelligent, dans le fond, c'est un mec sympa une fois qu'on a passé la carapace ; pire défaut → violent ; meilleure qualité → courageux ; groupe → La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. ; avatar → Josh Beech ; que pense t-il/elle de ce fameux jeu téléphonique ? → soyez un minimum précis. Nous vous demandons de faire dix lignes pleines minimum ; crédit(s) → texte ; descriptif de votre relation→ En gros, la relation entre Raphael et Marguerit, c'est compliqué. Pas d'amour, nan. Il a juste été là pour la récupérer dans la rue, et faire d'elle ce qu'elle est maintenant. Ouais, eux, des gosses a peine sortis de l'adolescence. Elle avait le visage innocent, un jolie sourire, et lui le courage de tout foutre en l'air, le courage d'aller contre ce qui était interdit. Alors ils ont gagnés leurs vies. Dans les rues, ils se baladaient en transportant des sacs aux contenus inconnus. C'était ça, le deal. Ils gardaient la moitié de ce que donnait le client, mais interdiction d'ouvrir les sacs. un bon deal. Ca marchait bien. Et puis un jour, le gang s'est fait avoir. C'est toujours comme ça dans les histoires. Alors Raphael, il a embarqué Marguerit avec lui. Ouais, deux gamins en cavale, pour fuir les autorités. Ils ont quitté le pays, vécus planqués dans des môtels miteux. Ils sont peut être tombés amoureux. La nuit, elle dormait blottit contre lui. Parfois même, ils partageait plus que ça. c'était simple. Sauf que Marguerit elle est partie. Quand la situation s'est calmée, Magui est tombée amoureuse. Maiden. Ouais, elle s'est tiré, sans plus trop donner de nouvelles. Et puis y a eu ce message, ce « Je crois que j’ai besoin de toi… ». Ouais, elle a toujours eu besoin de lui. Pour une histoire de texto a la con, Maiden s'était tiré, laissant une Marguerit fannée. Raphael, s'est un héro. Alors ouais, il est venu rejoindre sa Marguerit, histoire de sauver sa vie, encore une fois. - Spoiler:
« Quand est ce qu’on va partir d’ici ? » Je plis le papier. Parce que le papier pas plié, c’est le genre de truc qu’on pourrait lire. Et je veux pas que les autres lisent. Seulement lui, même si finalement, là dans le motel, y a que lui. Assit sur le rebord du lit, un cigarette qui se consume entre ses lèvres. Juste lui, moi et puis les rideaux tirés. Parce qu’il faudrait pas qu’on nous voit. Non. Alors je m’approche de lui, et puis je me laisse tomber sur le lit a ses côtés avant de déposer le papier sur ses genoux. Parce que j’ai besoin de savoir. Je sais pas si je dois me faire a l’idée de vivre ici en fugitive, planquée et en cavale. Ca ressemble aux bouquins que je lisais quand j’étais plus jeune. Au tout début, avant que tout commence. Y avait des histoires de bandits, de femmes fatales. Et si Raphael joue a merveille le rôle du bandit, moi la femme fatale, j’y crois pas trop. Pas assez femme, par contre fatale, ouais, peut être parfois. Quand je posais sur mon épaule les sacs qu’il fallait faire passer, je me sentais fatale, le genre de personne qu’aurait pu détruire votre vie juste avec un sac. Ouais, avant. Là, assise sur ce lit, j’ai l’impression que les sacs, c’est moi qu’ils ont détruits. « Plus tard » Ah ah. Berlioz, parfois je me dis que tu dois te foutre de moi. Je m’en doutais bien, qu’un jour on partirait. Ouais, je le savais. J’aurais juste voulu que tu me dises que tout va bien, qu’en vérité, toi et moi on est pas trop jeunes pour gâcher nos vies. Pas trop jeunes non plus pour prendre la route. Parce que ouais, faire le tour du monde, je l’imaginais, mais pas comme ça. Alors je pousse un soupir, et puis, je me laisse tomber a la renverse sur les draps défaits. J’aime pas cet endroit. J’aime pas leurs rideaux, j’aime pas l’odeur de cadavre dans la salle de bain, ni la tâche blanche sur le tapis. Alors Raphael, il se tourne vers moi et il sourit alors que ses doigts ils soulèvent mon tee-shirt. T’es con. « Tu vas faire à bouffer et après j’te baise ? » Pauv’ con ! Alors je me redresse, index dressé. Tu te fous de moi hein ? Je suis sûre que t’as pas vraiment envie de mourir de faim.
[...]
« Je crois que j’ai besoin de toi… » Parce que tu sais Raphael, t’es peut être la seule chose qu’il me reste. Toi, le meilleur ami, le témoin de la moitié de ma vie. T’es un peu le type qui sauve l’épave, ou au contraire, l’iceberg qui fait qu’elle s’effondre. Je sais pas. Parce qu’au final, tout est de sa faute a lui, a ce type un peu étrange qui partage ma vie. Je sais pas si je le connais ou si au contraire, je me plante complétement sur lui. Je sais pas. Je sais juste que la toute première fois, quand on a quitté l’Irlande, c’était son idée. Ouvrir le sac, prendre l’argent, et puis s’enfuir. C’était son idée, et peut être aussi ce qui nous a évités de finir notre vie en prison. Pourtant, encore aujourd’hui, quand je les entends les sirènes, je nous revois dans les ruelles étroites, a s’appliquer pour ne pas être découverts. Moi j’aimais bien. Et puis y a eu Maiden. Tout ça. Ouais Raphael, j'ai besoin de toi. Ouais, parce que t'es le type qui sauve pas vie. Le prince dans la vie d'une princesse. Mais vois la tronche de la princesse. Alors je l’aime pas, non. Pas comme on aime pour de vrai.
- Spoiler:
dîtes ici ce que vous attendez de celui ou celle qui prendra possession du scénario → texte.
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| Sujet: Re: {M/LIBRE} T'ignores le vide devant toi, les vertige et la peur, tu connais pas. Mar 15 Mai - 6:30 | |
| Peut être que tu avais pas encore fini mais bon, je suis là |
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| Sujet: Re: {M/LIBRE} T'ignores le vide devant toi, les vertige et la peur, tu connais pas. Mar 15 Mai - 7:39 | |
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| Sujet: Re: {M/LIBRE} T'ignores le vide devant toi, les vertige et la peur, tu connais pas. | |
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